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Réussir sa jeunesse, de l’âge des possibles à l’âge des choix
Réussir sa jeunesse, de l’âge des possibles à l’âge des choix (1999, Le Sarment-Fayard) Genre : essai, psychologie Pages : 294
« « Profite de ta jeunesse, jouis au maximum ! », tel est le refrain d'une société où chacun veut paraître jeune. Mais que vivent vraiment les jeunes ? Pour beaucoup, cet âge privilégié, qui cristallise tant de richesses, d'aspirations et d'espérances, est devenu un tunnel interminable, sinon une nasse inextricable. Alors que les statistiques sont préoccupantes (santé, suicides, violence, niveau de vie...), la jeunesse est devenue l'âge de tous les défis [...]
L'auteur montre comment éviter les pièges ou les impasses d'une période de la vie exaltante, mais parfois douloureuse. Sur bien des points, il rejoindra des jeunes qui se croient seuls devant bon nombre de situations et se demandent « comment s'y retrouver » dans la complexité des choix à faire.
Rien n'est jamais perdu : il y a en chacun des ressources insoupçonnées, telle est la leçon de ce livre. On peut avoir une jeunesse ingrate et difficile, et devenir un adulte heureux et accompli. »
Extrait
« Un adulte ne renonce jamais à être « jeune » : il est vrai qu'on est toujours plus jeune que son père et sa mère. De même que le personnage de Bérenger Ier, dans la pièce de théâtre Le roi se meurt, de Ionesco, repousse toujours à demain de moment de mourir, chacun remet sans cesse à plus tard le moment de vieillir. Il n'y a qu'à l'âge de dix ans qu'on veuille grandir. A vingt ans, on tient à s'assurer qu'on est jeune : on se sent plutôt vieux. A trente ans, on est jeune, même si on commence à perdre ses cheveux. A quarante ans, on est toujours jeune. A cinquante ans, on est encore jeune. A soixante ans, on n'est pas vieux. A soixante-dix ans, on paraît jeune. A quatre-vingts, on est jeune d'esprit. On retombe même, paraît-il, en enfance. Et puis on meurt, en ayant à peine vieilli. »
Ce qu'ils ont écrit
« Une petit essai perspicace » (Le Figaro Magazine)

« Clair, intelligent et sympathique, ce guide a tout pour devenir le livre de chevet des jeunes de l'an 2000 » (France Catholique)

« Très bon. Ni édifiant ni moralisant. La relation à la Source est sous-jacente sans que cela soit dit explicitement » (Georges Haldas)

« Ce livre pose toutes les questions d'un âge qui prend des airs de véritable défi » (Le Figaro Quotidien) « Un livre tonique et éclairant » (Images du mois)

« Le livre a ceci de réjouissant qu'il dépasse la conjoncture, et les dérives des écrits sur la jeunesse : refusés, l'idyllisme rose ou le romantisme morose ; évacuée, la tentation du « bonheur en dix leçons » ; fustigés, la confusion des âges et les mirages du « jeunisme » (Anne Veynor)

« L'auteur pose des questions justes. Psychologue, il montre dans un style précis comment éviter pièges et dangers de cette zone de tempêtes pour trouver son cap » (Alain de Penanster, Valeurs Actuelles)

« Un bon guide, fin et sûr, pour apprendre la vie » (Liberté politique)

« Ce livre n'est pas un manuel genre : « rester jeune en dix leçons ». A partir  de thèmes concrets comme la recherche de sa vocation, la quête amoureuse, la découverte de l'autre, l'auteur se penche sur cet âge de la vie que l'on a tendance aujourd'hui comme un monde clos et suffisant. Jean-Marc Bastière refuse la fatalité des erreurs de jeunesse » (F. Ludovic Lécuru, abbaye Saint-Wandrille)

« Jean-Marc Bastière vient de dresser de la jeunesse un tableau plus vrai que nature » (Thierry Boutet)

« Une analyse courageuse et intelligente des questions que se posent les jeunes » (Il est vivant)

« Merci de votre livre pédagogique, utile » (Cardinal Jean-Marie Lustiger)